mercredi minuscule
Je suis encore pas mal envahie par le bureau, même si hier j'ai pris une journée pour moi. Ce n'était pas suffisant c'est clair, mais mieux que rien du tout sans contredit. Je n'ai pas senti que "la vraie vie était ailleurs" (genre placer le spirituel avant le matériel), mais j'ai compté mes sous et fait un budget afin de savoir combien ça me prendrait par mois - année pour vivre en cas d'arrêt définitif du travail. Ça me fait du bien de savoir que je ne suis pas totalement liée au travail, qu'il pourrait y avoir autre chose pour moi, en me serrant la ceinture. Tant que la petite est aux études, ça me semble difficile à envisager cependant. Et ce n'est pas demain la veille qu'elle va les terminer. Disons un bon 5 ans encore. À ce moment-là, ça ferait 18 ans que je serais à mon emploi. Serai-je encore là? Je vais encore travailler 20 ans, si?
Je suis pas mal découragée à l'idée du boulot ce matin. Sans savoir si je vais encore travailler en fin de semaine. Cette idée me démoralise. Je suis vraiment à bout. L'écoeurantite aigüe que je ressens est installée là et ne pourra partir que lorsque......
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