suite de la lecture de "J'ai serré la main du diable: la faillite de l'humanité au Rwanda"
Je n'ai pas écrit hier. J'ai lu toute la journée, avec une interruption pour aller à la boulangerie sans gluten (Le Marquis, excellent) près de chez moi, parce que je n'avais plus de pain et que je n'avais pas le choix d'y aller. Je me suis couchée à 3 heures du matin. Je n'ai pas fini"J'ai serré la main du diable: la faillite de l'humanité au Rwanda" de Monsieur Roméo Dallaire. Je vais le terminer tantôt. Une lecture exceptionnellement dérangeante et formatrice. Je le dis et le répète ici: Monsieur Roméo Dallaire est mon héros. Ses valeurs humaines, son courage, sa force brute, sa loyauté, et j'en passe. Je l'admire éperdument. Il est mon modèle d'homme. Le bon père de famille, celui qui protège. Il semble n'y avoir aucune biographie de lui à date. Pourquoi?
Je vais recevoir pour le souper ma fille et son amoureux. Au menu, crème de brocoli, pâté chinois, salade de chou-carotte indienne. Et petits à-côtés. Je suis prête. Il ne me reste seulement qu'une petite course à faire chez le marchand de fruits. Je n'ai pas de verres à vin. Devrais-je m'en procurer? On s'en fout tellement mais tant qu'à faire...
Je recommence à travailler lundi prochain (...). No comment.
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