j'ai pardonné mes parents
Je suis allée chez mes parents hier, à Québec (ville), où ils vivent. C'était bien, beau, bon et doux. Je leur ai fait des amendes honorables, sans aucune hésitation, le coeur pur, lorsque tout d'un coup le moment s'y est prêté, sans préméditation. Cela a été bien accueilli. Nous avons passé un bon six heures trente ensemble. Ils étaient beaux, relax. Le reste de mon séjour a été teinté de mon état d'âme habituel des dernières semaines, i.e. sans que je ne ressente rien de particulier, avec un fond de tristesse. Je suis persuadée que ce sont les hormones qui me jouent des tours. Je pense sincèrement à demander que mon médecin me prescrive la pilule anticonceptionnelle. Pour gérer les variations intenses d'hormones reproductives (oestrogène et progestérone) lors de la périménaupose. Il paraît que ça donne d'excellents résultats. Je vais prendre rendez-vous avec mon médecin de famille as soon as possible. Pas le choix. Je ne veux pas vivre dans cette misère morale, alors que finalement ce ne sont que les hormones éventuellement qui sont la cause de tout cela. Pourquoi souffrir pour rien?
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