dommages causés par le stress
Je vais partager ce soir dans un groupe AA d'environ 60 membres en dehors de la ville. Je vais quitter le bureau vers 16h45 pour rejoindre l'ami AA qui va m'accompagner en voiture. Nous devrions être sur place vers 19h30. C'est un beau petit meeting joyeux, dans une gentille petite ville, et je suis contente d'y aller même si ça me demande un grand effort, parce qu'en général le vendredi soir je suis davantage intéressée à me reposer à la maison que sortir, et puis ces jours-ci faire les choses demande davantage de courage et d'abnégation que d'habitude. Le stress de la semaine dernière est descendu, mais maintenant toutes sortes de petites manifestations physiques désagréables se manifestent, comme si mon corps se purgeait: mal de coeur, intestins chambranlants, migraines, fatigue extrême, picotements et autres démangeaisons au visage et au cuir chevelu. Et la préménopause se manifeste dans toute sa splendeur: depuis le début de ma période de fertilité à l'âge de 19 ans, ça fait la première fois que je ne suis pas menstruée durant un délai aussi long: 38 jours maintenant, et rien à l'horizon. J'ai le sentiment d'être constamment en attente "que ça sorte". Comme si j'étais constamment dans un état de SPM (syndrome pré-menstuel), avec irritabilité et déprime.
Au bureau, c'est vraiment dur, ma collègue doit définitivement partir à la fin du mois d'octobre, il n'y aura pas de délai de grâce supplémentaire. Elle et moi sommes affligées et c'est peu de le dire, c'est vraiment une situation pénible qu'on se force à gérer avec bonne volonté. Mais c'est difficile et ça nous rentre dedans. Et le pire est à venir, lorsque j'aurai à faire passer des entrevues avec ma gestionnaire pour le poste en question, et ensuite lorsqu'il faudra former la nouvelle personne.
Je demande à Dieu le courage de passer à travers cela avec sérénité, et lui demande de m'aider à ne pas dramatiser davantage la situation en me révoltant et en ruminant mon ressentiment.
Au bureau, c'est vraiment dur, ma collègue doit définitivement partir à la fin du mois d'octobre, il n'y aura pas de délai de grâce supplémentaire. Elle et moi sommes affligées et c'est peu de le dire, c'est vraiment une situation pénible qu'on se force à gérer avec bonne volonté. Mais c'est difficile et ça nous rentre dedans. Et le pire est à venir, lorsque j'aurai à faire passer des entrevues avec ma gestionnaire pour le poste en question, et ensuite lorsqu'il faudra former la nouvelle personne.
Je demande à Dieu le courage de passer à travers cela avec sérénité, et lui demande de m'aider à ne pas dramatiser davantage la situation en me révoltant et en ruminant mon ressentiment.
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