fuck la job
Je suis toujours enragée par la situation, mais la tristesse et le découragement s'en mêlent. Sentir et anticiper ce que seront les journée avec ma collègue de travail lorsqu'elle reviendra de ses vacances estivales, alors qu'elle sera en poste pour un temps indéterminé qui pourrait être aussi court que rien du tout, me démoralise et me brise le coeur. C'est mon amie, après tout, et je sais qu'elle va pleurer et que ce sera dur. Je crains de m'effondrer, de ne pas pouvoir la soutenir dans ces temps difficiles où, en plus d'avoir cette épée de Damoclès pendue au-dessus de nos têtes (combien de temps restera-t-elle?), nous serons surchargées de travail. Ça va être difficile d'être enthousiastes et motivées. Alors qu'on se fait enculer d'un bord, faudra sourire de l'autre? Quelle infamie. Je suis dégoûtée.
Je suis allée chez la coiffeuse me faire couper les cheveux tantôt, ensuite je les ai bleachés, je suis assez contente du résultat, une bonne chose de faite. Ça de moins à me préoccuper. Je voulais mettre une photo, et puis merde ma batterie vient de lâcher.
Pour m'occuper et ne rien penser, je fais du lavage. Ça fait changement des vendredis soirs wild du temps de ma jeunesse perdue disons. On fait ce qu'on peut.
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