lorsque

Le printemps est enfin arrivé. Lorsque j'étais à l'université, c'était un cauchemar pour moi de voir les longues semaines apparaître sans rien devant moi durant l'été. J'étais complètement seule à Montréal. Je n'avais pas d'amis. Je ne parlais pas à mes soeurs, dont l'une, découragée, avait arrêté d'insister pour me voir. Je n'étais pas capable de me prendre en main. Je me suis enfoncée. J'ai fait des choses, des choses qu'on fait lorsque.

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