j'ai fait de mon mieux: mon mantra de la semaine

À partir de 5 heures ce matin, j'ai été entre la veille et l'assoupissement. J'ai rêvé. Il y avait beaucoup de souffrance et de morts dans mes songeries. Je suis encore choquée par l'ampleur de la souffrance dégagée par ces rêves un peu décousus; on aurait dit que je ressentais toute l'affliction du monde. Ce matin, je ressens complètement mon humanité, et, si je ne trouve rien de créatif ou de projet personnel dans lequel je pourrais m'exprimer dans l'avenir, et bien que je sois la personne qui, aujourd'hui, dans le cadre de ses activités, rencontres, etc., soit une lumière pour elle-même et pour les autres. N'est-ce pas le sommet que je pourrais atteindre selon la pyramide de Maslow? Ce sont mes rêves de mort qui me donnent envie de vivre. N'est-ce pas magique, d'une certaine façon, la force de l'inconscient? (ou autre chose)

soir
Journée extrêmement chargée, stressante, challengeante, etc. Je suis, ce soir, dans l'expérimentation d'une certaine forme de lâcher-prise, alors que je me répète comme une litanie depuis mon départ du bureau à 18 heures: "J'ai fait, à tous les moments de la journée, de mon mieux, et la journée est terminée maintenant, je ne peux pas retourner en arrière ou changer quoi que ce soit à ce que j'ai fait ou dit, et demain est un autre jour".