garder ou ne pas garder Zézette
À un moment donné hier soir au bureau, il était tard, j'avais eu une journée folle, j'étais complètement vidée et plus capable de penser intelligemment, et mon cerveau a tout simplement arrêté de fonctionner. J'ai paniqué, l'angoisse a envahi mon corps. Je me suis dit que c'était trop, que je ne soutiendrais pas le rythme, que c'était humainement impossible de continuer dans ces conditions et j'ai pensé dans une fraction de seconde à prendre mon manteau, mes affaires et quitter dans la minute définitivement ce maudit bureau. Je suis allée à la salle de bain. J'ai repris mon calme. Mais cette idée de quitter est là, quelque part en moi. Qu'est-ce que je vais faire? Attendre de m'écrouler pour de bon?
J'ai comme un espèce de virus. J'ai les intestins détraqués, mais pas de la manière habituelle. C'est comme si j'avais constamment envie d'aller à la selle, avec malaises afférents. Et très régulièrement des migraines....Avec ça il faut que je donne mon 150% au bureau. Vraiment pas facile. Au moins, je sais que je ne travaillerai pas en fin de semaine. C'est toujours ça de gagné. Je ne sais pas si c'est la périménopause qui me donne ces malaises chroniques ou presque, mais vraiment, c'est tellement difficile qu'il n'y a pas de mots pour décrire ma perplexité face à ce corps qui fait constamment des siennes et qui ne fonctionne pas du tout comme il se devrait.
Là, nous sommes vendredi, j'ai trois jours de congé qui s'en viennent. Comme d'habitude, je vais seulement récupérer. Je vais me traîner comme une vieille dans mon appartement afin de reconstituer mes forces sans autre projet que de torcher l'appartement qui m'apparait toujours douteux et un peu odorant depuis que j'ai ma chatte. Et celle-ci à mon avis a des problèmes intestinaux parce qu'elle n'arrête pas de péter et l'odeur est pestilentielle. Pourtant, elle est vermifugée, et je lui donne de la super bonne bouffe. Je ne vais quand même pas lui donner des cannes de viande fraîche, il y a des limites à ce que je veux dépenser pour mon chat (oui je suis horrible). J'ai encore l'idée de m'en débarrasser, c'est récurrent lorsque les désavantages l'emportent sur l'agrément d'avoir une chatte (je suis vraiment horrible).
soir
Enfin la fin de semaine. Tellement mal au ventre, vidée. Mais heureuse d'être en vie. Et....je me demande toujours si je vais garder Zézette.....
J'ai comme un espèce de virus. J'ai les intestins détraqués, mais pas de la manière habituelle. C'est comme si j'avais constamment envie d'aller à la selle, avec malaises afférents. Et très régulièrement des migraines....Avec ça il faut que je donne mon 150% au bureau. Vraiment pas facile. Au moins, je sais que je ne travaillerai pas en fin de semaine. C'est toujours ça de gagné. Je ne sais pas si c'est la périménopause qui me donne ces malaises chroniques ou presque, mais vraiment, c'est tellement difficile qu'il n'y a pas de mots pour décrire ma perplexité face à ce corps qui fait constamment des siennes et qui ne fonctionne pas du tout comme il se devrait.
Là, nous sommes vendredi, j'ai trois jours de congé qui s'en viennent. Comme d'habitude, je vais seulement récupérer. Je vais me traîner comme une vieille dans mon appartement afin de reconstituer mes forces sans autre projet que de torcher l'appartement qui m'apparait toujours douteux et un peu odorant depuis que j'ai ma chatte. Et celle-ci à mon avis a des problèmes intestinaux parce qu'elle n'arrête pas de péter et l'odeur est pestilentielle. Pourtant, elle est vermifugée, et je lui donne de la super bonne bouffe. Je ne vais quand même pas lui donner des cannes de viande fraîche, il y a des limites à ce que je veux dépenser pour mon chat (oui je suis horrible). J'ai encore l'idée de m'en débarrasser, c'est récurrent lorsque les désavantages l'emportent sur l'agrément d'avoir une chatte (je suis vraiment horrible).
soir
Enfin la fin de semaine. Tellement mal au ventre, vidée. Mais heureuse d'être en vie. Et....je me demande toujours si je vais garder Zézette.....
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